Autriche Hongrie Roumanie Bulgarie Grèce
Yiasas ! (salut en greque),
Cela fait un moment que nous n'avons pas écrit d'article, désolé il était difficile d'avoir une connexion internet.
Fin juillet, en Autriche le moment est enfin arrivé, Damien, Valou, gyzmo et Ricou (leurs deux chiens), Antho, et bien sur Amélie nous ont rejoint avec leurs deux van.
Ces retrouvailles tant attendus ont été fortes en émotions et nous ont fait beaucoup de bien.
Le hasard à fait que, notre lieu de rendez-vous était un village sympathique ou niche tous les ans des cigognes.
Puis, nous sommes passés en Hongrie, où nous avons commencé par visiter sa belle capital, Budapest.
Ensuite, nous sommes arrivés au festival d'Ozora ou un couple de copain, Gaétan et Lucile nous ont rejoint pour notre plus grand bonheur.
Ce festival à rassemblé environ 40 000 personnes pendant une semaine ou l'ambiance, la déco et bien sur la musique étaient assurées.
Nous qui n'avions pas l'habitude de côtoyer autant de monde durant notre voyage, ça nous a changé.
Nous avons put facilement confectionner un four en creusant dans une bute, ce qui nous a permis de réaliser quelques chappattis à la confiture de prune.
Puis, nous avons enchainé avec un autre festival toujours dans le même genre, en Roumanie dans les montagnes transylvaniennes
Celui-ci a aussi duré une semaine, où nous ont rejoint Chris, Théo, Lise, Crapeau, et Choup.
Il a accueilli envions 3 000 personnes à 1 800 m d'altitude en pleine nature, un cadre idéal, malgré l'organisation qui laissait à désirer.
Mais heureusement le beau temps et l'envie de profiter et de faire la fête tous ensemble a primé.
A cette occasion, nous avons put déguster la bière maison confectionnée avec Chris à Saint Etienne au début de notre voyage.
Nous l'avons d'ailleurs trouvé sans nous venter, en temps qu'apprenti brasseur, plutôt bonne. Nous n'hésiterons donc pas à en refaire à notre retour.
Après ces bons moments passés ensemble, le temps des au revoir à une partie des copains était arrivé.
Nous avons donc repris la route, toujours en van avec Amélie, Damien, Valou, Gyzmo et Ricou.
Après cette période de festivité, nous avons pris le temps pour nous reposer, nous balader, faire quelques cueillettes de framboises et de mures, à fin de réaliser des confitures dans cette belle région qu'est la Transylvanie.
On est passé par le château de Dracula, au lieu touristique de la région, que l'on a trouver sans grand intérêt.
Mais nous avons eut la chance d'assister a un festival international de musique folklorique, de gouté une des spécialités constituée d'une boule de polenta avec au milieu du fromage, un régale.
De plus, cette soirée là, nous avons fait la connaissance de deux sympathiques auto-stoppeurs Français Adrien et Nolwenn. Et cette dernière ayant visiter la Turquie en stop, elle nous a donné quelques bons conseils et encore plus hâte d'y aller pour vérifier par nous même ce qu'il en est.
Puis, à peine posé dans un belle endroit face à une vallée verdoillante couronnée de sa montagne, nous sympathisons avec un berger Florin et de sa femme Liliana, chez qui nous avons eut la chance d'assister à la traite, à la main, de leurs 7 vaches, que nous avons testé par nous même avec succès comme vous pourrez le constater sur une de nos vidéos, mais vue leur efficacité nous avons préféré leur laisser la main pour ne pas les retarder.
Ils nous ont aussi montré comment ils confectionnent leurs fromages. Et cerise sur le gâteau, il nous ont offert un bon repas constitué des produits de leur ferme ( fromage fumé, porc confi, boule de polenta au fromage ), sans oublié la traditionnelle eau de vie de prune maison. Nous en somme sortie bien heureux de toutes ces nouvelles expériences , reput et bien sur quelque peu éloisé, vous vous en douté.
Et quelque jour plus tard, encore une belle rencontre, celle d'Adrian qui nous a invité chez lui, présenté à toute sa petite famille, offert un bon repas des produit de sa ferme, encore un régal.
Et il nous a invité fièrement à l’aider à faucher son champs, tout cela bien sur à la main, se qui fut encore une bonne et nouvelle expérience pour nous.
Le peu que nous avons vue de la Roumanie nous a beaucoup plus. Même si, il est vrai que l'on a remarqué un grand nombre de chiens errants, l'importance des différences de richesses surtout entre les villes et les campagnes, la mise à l'écart de la communauté Tzigane, ( comme un partout malheureusement).
Mais la simplicité et le bon accueil des locaux, la liberté du camping sauvage, les magnifiques paysages, les ventes de légumes un peu partout au bord des routes et les bonnes spécialités que l'on sait fait un plaisir de déguster nous ont permis de passer un très agréable moment en Roumanie.
Nous avons put constater que c'est souvent ceux qui en ont le moins qui en donne le plus. Nous reviendrons donc dans ce fabuleux pays avec plaisir.
Puis fin aout, nous avons franchi le Danube pour arriver en Bulgarie, où malgré l’ouverture des frontières d’Europe, il persiste d’importantes taxes, en l’occurrence 90 Euros pour 3 personnes et un van, à fin de sortir de Roumanie, prendre le bateau car il n’y a pratiquement pas de pont, l’entrée en Bulgarie et la vignette, vous comprendrez notre désarroi.
Une fois cette étape franchie, nous nous sommes installé à la lisère d'une forêt et avons rencontré Angelanov, un jeune homme sympathique passionné de chasse d‘armes, qui nous a gentiment offert juste avant notre départ deux pastèques, du chocolat et une des spécialité la Rakiya, de l'eau de vie locale.
Une petite rando dans les montagnes du parc national de Pirin, nous à permis de nous décrasser un peu, de constater que la condition physique se perd plus facilement qu’elle s’acquière et nous rendre compte que nous aimions toujours autant vadrouiller dans les grands espaces, depuis le temps que nous nous déplassons en van.
Notre campement posé au bord d'un étang, nous pouvons enfin rallier avec la pèche, mais ne possédant pas de lancé, nous avons expérimenté la pèche à la bouteille ( en plastique ), avec appâts à l'intérieur.
Romain en a profité pour recycler toujours des bouteilles en plastiques ( environs 80 ), pour s'en faire un radeau, ce qui fut un essai concluant, puisque la première mise à l'eau n'a pas finit par un naufrage.
Et encore une rencontre sympathique, celle de Ruben, nous voyant ramasser des figues sur le bord de la route sans grand succès, il nous emmène au font de son grand jardin potager et nous propose de nous servir directement au près de ses figuiers abondamment garnies. Nous nous quittons après avoir partagé un verre de vin, tout simplement.
Nous ne nous lasserons jamais de ce genre de belle rencontre, c'est une des motivation de notre voyage.
Ensuite, nous arrivons au Tangra festival au sud de la Bulgarie dans un endroit tranquille, en pleine nature. Celui-ci rassembla environ 300 personnes sur 4 jours, ce fut donc un sympathique festival en petit comité avec une super ambiance, déco, musique, et rencontre, exactement se qu'on aime.
Puis, nous passons par le village de Mělník entouré de pyramides de calcaires, avec visite de cave à vin, et de son monastère orthodoxe.
Nous décidons de séparer le convoi en deux pour quelques jours, Damien et Valou voulant se rapprocher de la mer, quand à nous nous voulions allez plus à l’est pour profiter encore un peu de la Bulgarie.
Ainsi, nous roulons à travers les Rhodopes, la chaine de montage faisant la frontière entre la Bulgarie et la Grèce.
Nous visitons un village historique typique et sympathique où nous nous régalons des spécialités bulgares.
Nous passons par des villages Pomaks (Bulgares islamisés pendant l'occupation Turque, dont l‘une des principales ressource est la culture du tabac) qui fut notre premier pas vers l'orient, où nous avons vu nos premières mosquées.
On est aussi passé par un village Tzigane, où nous avons était frappé par les différences de richesses.
Nous poursuivons par la visite de la grotte de Yagodina, avec ses splendides stalactites et stalagmites, ainsi que la formation rarissimes de perles de calcaire.
A cette occasion, nous rencontrons un professeur en oncologie, qui exerce dans un hôpital turque, ce qui nous a rappelé notre travail de manipulateur radio. Après avoir sympathisé, il nous a même laissé sa carte et proposé de passer le voir chez lui, en Turquie.
Une fois cette visite terminé, nous avons décidé de nous attarder dans les gorges de Trigard, un lieu magnifique bordé de falaise hautes d'un quart de kilomètre, au milieu des quelles serpentent une petite rivière grossie par de splendides cascades.
Après s'être débarbouillé à la base d'une de ces dernières Romain nous a confié qu'elle ravigotait par leur fraicheur.
Puis, une fois les gambettes dégourdis grâce à une bonne balade, nous avons concocté une bonne confiture de mirabelle.
Sur la route, nous nous sommes arrêtés dans un petit village pour succomber encore une fois aux charmes de la gastronomie locale, lorsque nous aperçûmes un cabinet dentaire. Nicolas sauta alors sur l'occasion pour se faire ausculter les chicots, car une petite douleur le titillait. Mais, après ces bons soins, il fut dans l'interdiction de manger pendant 2h, ce qui n'empêcha pas Romain et Amélie de s'offrir un bon repas.
Le lendemain, nous nous dirigeons vers la Grèce pour rejoindre Damien et Valou, mais avant nous en profitons pour visiter un site archéologique, avec de multiples vestiges (amphithéâtre, basilique…)
Puis, une fois le convoi redevenu complet, nous nous posons près d'une plage magnifique, pour plusieurs jours. Où, après s'être muni de masques et de tubas, nous explorons les fonds marins et nous adonnons à la pèche aux poulpes, bigorneaux et oursins.
Nous avons trouvé ensuite une autre plage, où nous avons testé avec succès la pêche au filet de petits poissons et la pêche aux crabes, ce qui nous permis de bien nous occuper et encore une fois bien nous régaler.
Nous sommes retournés à l'intérieur des terres dans la région des lacs, où nous nous sommes encore adonnés à la pêche dans un décor très agréable. Les pêcheur du coin nous ont d'ailleurs bien aidé, en nous offrant gentiment appâts, conseils et surtout une partie de leurs pêches. Ce qui a bien sur considérablement agrémenté nos repas.
Après s’être bien détendu et avoir fait une overdose de poisson, nous décidons donc de poursuivre notre route vers le mont Olympe, lieu de résidence des dieux de la mythologie grecque.
Une fois sur place, nous avons élu domicile prés du monastère de Dionysos avec un couple Croate Matija et Tamara avec leur deux enfants Eddy et Courth et leur chien Roc, qui voyagent également à travers l’Europe et avec qui nous nous sommes trouvés de nombreux points communs, par rapport à la vie alternative à laquelle ils aspirent eux aussi.
Nous avons réalisé l’ascension du Monts Myticas qui culmine à exactement 2918m. Pour cela, nous avons du passé une nuit à mi parcours dans les bois. Nous y avons campé au pied d’un arbre foudroyé sous une bâche et une multitude de couette car à cette altitude (2100m) les nuits sont fraiches. Ce fut une agréable ascension dans un cadre somptueux et une météo adéquat.
Après cette belle rencontre et ces bons moments partagés , nous reprenons la route en direction d’un autre lieu qui promet d’être grandiose : les Météores.
Et en effet, une fois sur place, nous ne sommes pas dessus du spectacle de ces monastères perchés sur ces étranges rochers d’origines étonnantes (si vous connaissez leur origine , merci de nous laisser un petit commentaire ceci nous éclairera et nous permettra d’éliminer des hypothèses farfelues).
Ce site qui compte 6 monastères éparpillés hébergeant 66 moines et est visité par un nombre astronomique de touristes, ce qui ne doit pas être à notre sens très propice au recueillement . Nous en avons profité pour visité l’un d’entre eux, on les aurait bien tous fait, mais malheureusement cela nous revenait trop cher par rapport à ce qu’ils nous laissaient voir et à notre bourse.
Nous nous sommes aussi lancés dans une marche en dehors des sentiers battues, à travers ces météores, la où même les chèvres ne vont pas. Ce qui fut quelque peu périlleux mais sympathique.
Ensuite, nous avons décidé de prendre soin de notre corps en s’arrêtant quelques jours au abord d’une source chaude. Comme prévu farniente et baignade furent de rigueur. Une chose à laquelle nous n’étions pas habitués, celle de l’odeur du soufre qui freine un peu au premier abord, car elle se rapproche de celle des œufs pourris. Mais une fois dans l’eau, la sensation de rentrer dans un bon bain chaud est tel , qu’on y fait rapidement abstraction, vous pouvez nous croire sur parole.
Nous y avons aussi rencontré un groupe de français Léti, Yo et Hans voyageant en van à travers l’Europe et Jürgen un autostoppeur Allemand, voyageur invétéré avec qui nous avons bien rigolé.
De plus, dans ce cadre idyllique nous nous sommes expérimentés à la pose d'un piège pour oiseaux. En effet, nous avons été grandement satisfait de notre ouvrage, malgré qu’aucun volatile ne s’y soit pris, ce qui ne nous empêchera pas de réitérer l’expérience plus tard.
Nous avons continués notre route en direction d’Athènes et fait escale au bord d’un lac assez quelconque, au première abord.
Après une nuit, nous avons put constater la présence de quelques décharges sauvages éparpillées dans lesquels en fouinant un peu, on y a déniché quelques objets aux quels nous avons put redonner une nouvelle vie.
Mais la plus grosse surprise fut lorsque nous avons découvert une petite chienne adorable qui à priori était abandonnée.
Nous sommes donc restés quelques jours de plus pour en être sur, et après avoir interrogé des pécheurs on en a conclus qu'elle était sans maitre. Durant notre séjour, elle fut toujours à nos côtés et aussi mignonne. Après mures réflexions, Amélie a donc décidé de lui apporter tout l’amour qu'elle pourrai en l’adoptant sous le nom CHENGA. Comme vous pouvez le constater elle nous a fait les yeux doux, il fut difficile de résister.
Après cette heureuse rencontre, nous reprenons la route avec une compagnonne de plus, pour visiter Athènes.
Le retour à la civilisation fut quelques peu difficille, en effet à peine arrivé et toujours pas garé nous passons dans une rue, vers 15h, où un groupe d’héroïnomane était en pleine action, cette image fut pour nous très violente. Malheureusement beaucoup de personnes souffrant de cette addiction mériteraient du soutient et non d’être ignorées, et bien sur nous en avons vue ici, mais c’est partout pareil à travers le monde.
Mais malgré un retour un retour à la réalité un peu violent, notre séjour en ville c’est très bien passé. En effet, nous nous sommes attardés plusieurs jours pour prendre le temps de visiter le fameuse l’Acropolis, des sites archéologiques, musés et églises ce qui nous a permis de nous enrichir avec grand plaisir.
Nous avons profité d’être en ville pour mettre en règles la petite Chenga (pucer, vacciner, vermifuger, peser…) qui s’avérait être en parfaite santé et pas enceinte, ce qui soulagea Amélie d’un poids.
Finalement malgré nos quelques craintes par rapport à la ville notre séjour fut très plaisant, car Athènes est une fabuleuse ville riche en histoire et en espaces verts.
Notre retour au vert fut fort agréable, car nous roulons vers le Péloponnèse, une région qui s’annonce relativement magnifique, et pour couronner le tout riche en agrumes aussi nombreuses que variées.
Notre premier refuge de longue durée fut un village désert composé de trois maisons et une église. Nous nous sommes arrêtés dans ce lieu quelques jours, car nous étions dans un cadre merveilleu. De plus nous avons put remettre en route un vieu four en pierre pour nous faire plein de pizzas, pains, patates au four, mais surtout des gâteaux.
Nous nous trouvions sur un lieu où une agréable terre argileuse rougeâtre était à notre disposition en grande quantité. Nous nous sommes donc exercés à la poterie, sans réelle succès, il faut l’admettre.
Par contre, nous nous sommes couchés un soir avec l’idée farfelue de se déguiser avec le lendemain, ce que nous avons, bien sur fait, ce qui nous permis de bien rigoler. Comme vous pouvez vous en douter le décapage fut moins facile que le barbouillage.
Une fois remis de nos émotions, et plus de farine pour faire de gâteaux, nous reprenons la route en direction du sud et plus précisément, la ville de Monenvasia, qu‘on nous a conseillé de visiter.
Sur place, nous découvrons un petit village sur une petite ile reliée par un pont unique, nous décidons de passé la nuit sur le continent, car un panneau expliquait bien que le camping sauvage y était formellement interdit et réprimandé par 147 euros d’amandes par personne.
Le lendemain, muni de notre pique-nique, nous partons explorer celle-ci, comprenant un petit village typique aux charmantes ruelles, le tout surplombé des vestiges d’une ancienne citadelle.
Après avoir sillonné cette belle petite île, nous reprenons la route en finissant le tour du Péloponnèse, en marquant diverses petites haltes, à la plage ou aux bords de lacs, où comme à notre habitude, pêche, farniente et ballades sont aux goûts du jour.
Notre dernière escale fut au bord d’une plage sympathique, où le beau temps ne nous à pas quitté, et où nous avons put trouver électricité, eau courante, et une vue hallucinante pour fêter l’Anniversaire d’Amélie.
Nous sommes déjà fin novembre, et il est tant pour les copains de prendre le ferry pour l’Italie. Ces au revoir sont comme vous pouvez vous en douter difficiles et forts en émotions, surtout pour Romain et Amélie.
Nous avons rencontré une personne qui nous a parlé un peu politique et de la crise qui règne en Grèce. Il nous a fait remarquer que la population n’en parle pas aux touristes, et en effet, c’était la première fois que ce sujet a été évoqué durant notre séjour.
Nous en avons ainsi plus pris conscience, car il y a semble il dans ce pays de nombreuses magouilles politiques et taxes élevées, qui rendent la vie dure au peuple.
Nous avons également put remarquer, que régulièrement quand on nous demande notre nationalité, notre réponse entraine un certain dédain ou clos la conversation. Car en effet, les agissements et paroles de notre cher président, monsieur Sarkozy, donnent une mauvaise députation au français ici. Nous espèrons que pour le bon déroulement de notre voyage, les boulettes de ce dernier ne nous porterons pas préjudice.
Nous nous excusons de cette longue attente pour la mise à jour du blog, mais les circonstances étaient un peu particulières, ainsi dorénavant nous tacherons de publier plus régulièrement.
Il est tant maintenant pour nous de poursuivre notre périple vers notre nouvel objectif, qui est de gagner l’Inde toujours à pied, en stop et ainsi comme à notre habitude, tenter de nous faire notre propre opinion sur ces pays en ne tenant pas compte des préjugés qui les concernent, tout en restant bien sur prudent.
Une nouvelle facette du voyage s’ouvre à nous, celle de la bureaucratie par l’obtention des visa, qui ne sera, on le sait, pas de tout repos. Nous souhaitons rester en règle pour prendre le moins de risques possibles, mais toujours en essayant de profiter au maximum de ces belles contrées inconnues qui s‘ouvrent à nous.